Candidature de Audrey

Dans une prairie reculer du monde, une famille vivait joyeusement. Leur fille, qui avait à se jour du récit, dix ans, jouait tranquillement dans son coin avec l'ocelot de la famille. Dehors, la pluie tambourinait joyeusement les fenêtre. L'homme assit dans le canapé se leva et déposa son livre. Il rejoignit la femme qui était en train d'observer à travers la vitre.
-Que regarde tu, ma chère? Demanda t'il.
-Le ciel. Répondit-elle.
-Oh. Dit-il, sans conviction.
-J'ai peur. Dit la femme brusquement en tournant un regard triste vers l'homme.
-De quoi donc?
-Le ciel est sombre, des événement vont bientôt se passé, j'en suis sûre!
-Mais non, ne t'inquiète pas, tout cela n'est que produit de ton imagination. Et si même tes crainte se réalisèrent, rien ne peut nous arriver, nous habituer à un coin des plus reculer du monde.
-Je... Commença la femme.
La petite fille tirait sur la jupe de sa mère.
-Maman! J'ai faim!
-Oui, chérie, je vais te préparer à manger. Dit elle, avec un sourire feint.
Son père décoiffa sa fille et observa à son tour, par la fenêtre. Le crépuscule ne tardera pas à faire son apparition, bientôt les dernière lueur du soleil disparaitrons pour laisser place au ténèbres profond de la nuit. Un cri perçant fit sursauté le père qui se retourna rapidement. Ce n'était que l'ocelot qui désirait jouer encore avec le bout de fil et la fille. Il soupira et jeta un dernier œil au dehors, le soleil encore, régnait sur la plaine au loin de leur maison situé au bord d'une montagne, il y avait un l'autre bout de montagne en face qui dispersaient le chemin en deux, un qui monde dans un passage entre la montagne, un autre qui offrait sur une plaine. Le père vit une ombre se faufilé et se caché derrière les rocher, il loucha en la directions de l'apparition, et se dit que son imagination fessait des sienne. Il tourna vers la table à manger où, sa femme et sa fille, l'attendaient pour diner. Au dehors, une ombre courrait à travers la plaine à haute vitesse en direction de l'ouest.

Sept ans passèrent.

La fille avait grandit. Elle avait maintenant de long cheveux blond, une mèche masquait l'un de ses yeux de jade et quelque cheveux retombait vers sa poitrine.
-Aidreyy? Dit une voix grave.
-Oui, papa? Répondit-elle?
-Vient ici!
-J'arrive.
Elle fit une caresse à l'ocelot qui se tourna sur le ventre quand la fille s'éloigna, il miaula et se mit à la suivre.
-Joyeux anniversaire! Dit ses parent en chœur.
-Oh! Fit Aidreyy.
-Sa te fait aujourd'hui, dix sept ans! Dit sa mère. Encore un ans et tu sera une adulte! Tien, voilà ton cadeau! Tu as toujours voulue connaitre la magie, j'ai trouver un livre dans notre grenier qui traite sur ce sujet.
-Merci, maman!
-Et sa, s'est de ma part! Dit son père en lui tendant un paquet.
Sa fille déballa et en sorti une épée de fer un peut rouiller.
-Bientôt tu devra t'éloigner de notre domicile, il est normal que tu aura besoin de te protéger. C'était à moi, avant, à l'époque où je voyageait encore dans se vaste monde... J'espère qu'elle te sera utile, aussi non je m'en voudrait de ne pas d'avoir fait un cadeau convenable!
-Ne dit pas ça, papa! Répondit-elle on lui fessant la bise. Merci!
Au font d'elle, elle espérait ne jamais s'en servir, mais si seulement elle avait sût, qu'elle l'utiliserait le soir même de son anniversaire.
Après la fête, elle monta dans sa chambre accompagner de son animal de compagnie, elle se jeta sur son lit avec l'ocelot qui en fit de même sur son ventre. La jeune fille caressa le félin, l'ocelot ronronnait comme à son habituel habitude. Puis d'un coup, un silence se fit. L'animal sauta du lit et accourra jusque la fenêtre. Il se mit à grogner.
-Que-ce qu'il y a, Kate?
L'animal ignora sa maitresse et grogna encore plus fort. La jeune fille se leva et s'approcha, à mesure qu'elle approchait, le félin lui fessait de plus en plus peur. Elle approcha sa main lentement de celui ci, mais changea vite d'avis, par peur. Elle s'empara de sa couverture et l'enveloppa sur son ocelot qui se débattait, puis finit par se calmer. La fille prit le chat qui la regardait d'un œil craintif.
-Ne t’inquiète pas... Il n'y a rien là bas. Rien que tu puisse craindre...
Aidreyy jeta un œil à la fenêtre, et vit des ombres se profiler et avancer vers leur maison. Elle lâcha la chat, les yeux grand ouvert, elle courra vers s'est parents leur avertir.
-Papa, maman! Il y a des gens étrange qui s'approche!
-Ne t’inquiète pas, choux. Répondit sa maman. S'est pas la première fois que des voyageur passent par là.
-Mais... Ce n'est pas ça le problème, s'est que ... Commença Aidreyy.
La porte fut enfoncer.
-Il n'ont pas de visage et son armée. Finit t'elle en étouffant les dernier mots.
-Des disciple de Thémétos! Dit son père. Monte vite dans la chambre, enfuit toi par la fenêtre.
-Mais?
-Fait vite ! Continua t'il en louchant sur le fourreaux sur la table.
La fille monta dans sa chambre, prit quelque affaire, et sorti par la fenêtre, elle s'éloigna de la maison.
A l’intérieur, la femme était derrière son mari. L'homme s'empara du fourreau, il parut soulager, mais cela ne se passa que quelque seconde, quand il se remarqua que l'arme n'était pas dans sa protection. Il recula, les créature approchaient, il recula, encore...

Dehors, la fille regarda son épée dans sa main. Elle fit demi tour et finit par faire demi tour en empoignant l'arme.
-A moi d'aider mes parents! Dit-elle en courant vers chez elle.
Elle se tourna vers son animal.
-Tu n'est pas obligé de me suivre, Kate.
Et courra vers sa maison, elle entra, et ouvrit grand les yeux.
Certaine créature était par terre, sans vie. Son père, tenant une des arme des assaillant, avait de multiple blessure, sa mère, terrifier, se trouvait dans le coin, derrière.
-Papa! Maman! Cria t'elle.
Elle courue en balançant son arme dans tout les sens en essayant d'abattre un maximum de créature. Se trouvant au côté de son père, celui ci dit.
-Pourquoi ne t'ai tu pas enfuit?
-Je ne pouvait vous laisser! Tu ne m'as pas offert cette lame pour rien... Il est temps que je vous rende la pareil pour tout ce que vous avez fait pour moi.
Une flèche passa entre le père et la fille, et vint se planté dans le ventre de la mère.
-Maman!
-Jade!
Une épée transperça le père qui s'écroula au sol. La fille, se tourna vers les assaillant, les yeux empli de larme, et cria, la pluie tomba, se fut le silence.

Le soleil se leva lentement sur la montagne. Quelque heures passèrent, le soleil était maintenant au-dessus de la maison calciné. Des cratère fumant se trouvaient autour de l'endroit. La maison était en ruine. Une fille taché de sang se releva péniblement, et regarda le ciel d'un regard vide, puis d'un coup se rappela.
-Papa!
Elle se tourna vers le cadavre de son père qui resta insensible au larme de sa fille. Elle finit par se retourner vers sa mère et couru ensuite devant.
-Maman! Hurla t-elle en la secouant.
Sa mère gémit et finit par ouvrir les yeux lentement.
-Aidreyy... Dit-elle d'une voix faible.
-Maman, ne parle pas, je vais t'aider...
-Inutile... Je vais bientôt devoir rejoindre mon chère époux.
Aidreyy tourna la tête vers son père pui regarda sa mère.
-Ne dit pas ça! Je te l'interdit!
-Je suis vraiment désolée, ma fille... Il en est ainsi, tel est mon destin...
-Ne me laisse pas!
-Je serait toujours avec toi.
Sa mère ferma les yeux.
-Maman! Hurla la jeune fille.
Elle pleura.

Quelque minute plus tard, elle finit par se décider. Elle empoigna son fourreau et rangea l'épée, elle prit son livre et le nécessaire pour s'alimenter, elle déposa ses affaire devant la maison, elle chercha une pelle, mais n'en trouva pas. Elle regarda le ciel, et se mit à creuser avec les main.
Le soir, deux tombe étaient apparu, une fille était agenouille en face.
-Reposer en paix, maman, papa.
Elle se coucha sur le sol et se remémora ce qui c'était passez.
Elle avait invoquer une pluie de météorite, des tonnerre étaient apparu en masse. Certaine créature avait tenté de fuir devant ennemis plus puissant qu'eux, mais avait tombé dans un grand cratère, avant de s'envoler, prit dans une tornade.

Elle avait invoquer chacun des éléments, était-ce seulement possible? Elle ne se rappelais pas comment elle avait pu s'y prendre. Elle prit son sac, regarda l'ocelot qui la regarda, et se mit en route. Une nouvelle vie, une nouvelle histoire. Le mal s'abat toujours quand on s'y attend le moins... Mais à chaque fois qu'un ennemis de puissant apparait, un protagoniste de la même puissance, apparait à son tours. Ainsi va le monde, dans sa perpétuel histoire. Ainsi est ma vie. Celle que je vais vous compter... Prenez place, car elle sera longue, semée d'embuche, et de mystère. Bienvenu dans le nouveau monde.